Naturellement inspirés

Publié le lundi 6 juin 2022

Le saviez-vous ? 

La Bretagne compte environ 30 000 km de ruisseaux, rivières et fleuves.

Son sous-sol granitique favorise le ruissellement de l’eau en surface. 

L’alimentation en eau potable n’est donc assurée par les eaux souterraines qu’à 25%.

Tout le reste est issu des eaux superficielles (cours d’eau et retenues dans les prairies et zones humides), à l’inverse du reste du territoire national (source BRGM).

Seulement voilà, les pluies les plus efficaces tombent entre octobre et mars.

Or, non seulement il n’a pas assez plu cet hiver, mais le printemps n’a pas permis de rattraper le retard en reconstituant les réserves. 

Résultat : on manque d’eau 

De nombreux arrêtés de sécheresse restreignent les consommations, pour les particuliers et les professionnels.

Une situation qui intervient de plus en plus tôt dans l’année. 

Pour prévenir cet état de fait, la Communauté de communes contribue à l’Établissement public territorial de bassin Eaux et Vilaine, qui agit pour une gestion durable de l’eau, des rivières et des milieux aquatiques. 

Le programme Breizh-bocage joue également un rôle essentiel pour sauvegarder l’eau du territoire en limitant le ruissellement et améliorant la qualité de l’eau.

Néanmoins, il apparaît essentiel que chacun limite autant que possible sa consommation d’eau cet été, pour qu’on ait de l’eau au robinet jusqu’à l’hiver prochain.

 

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