C’est pas sorcier !
La première recommandation, c’est de ne pas planter en période de gel, ni de vent très fort.
Choisissez des espèces locales : chêne, châtaignier, noisetier… il y a l’embarras du choix.
Faites un trou dans le sol à l’aide d’une houe forestière ou d’une bêche.
Il doit avoir environ 2 fois la taille de votre motte. Si vous avez un plant sans motte, attendez fin novembre.
Coupez les racines trop longues ou abimées à l’aide d’un sécateur, et trempez-les dans du pralin (1/3 de terre, 1/3 de bouse de vache et 1/3 d’eau).
Installez le plant dans le trou, bien à la verticale, les racines bien étalées.
Le collet (zone de séparation entre la tige et les racines) doit être placé juste sous la surface de la terre.
Tassez la terre avec votre pied, et arrosez.
Vous avez fait le plus dur !
Il vous reste à pailler le pied pour le protéger de l’hiver.
Copeaux de bois, paille… sur 1m2 autour du plant, et sur 7 à 10 cm d’épaisseur.
Enfin, vous pouvez protéger votre futur arbre pour éviter qu’il ne serve à nourrir les chevreuils !