L’accueil individuel
La solution la plus répandue sur le territoire, c’est l’accueil individuel au domicile d’un assistant maternel.
Il peut être régulier (plusieurs fois par semaine), occasionnel (en fonction des disponibilités) ou d’urgence (retour à l’emploi soudain des parents, maladie de l’assistant maternel habituel…).
Avec une capacité d’accueil limitée à 4 enfants simultanément (selon l’agrément), l’assistant maternel entretient une relation privilégiée avec l’enfant et ses parents. Ces derniers endossent la responsabilité d’employeur.
Dans certains cas, le professionnel participe à des activités extérieures comme les matinées d’éveil du Relais petite enfance, ou auprès des associations d’assistants maternels.
Des maisons d’assistants maternels se développent de plus en plus. Le principe : dans un même lieu, plusieurs professionnels se réunissent autour d’un projet d’accueil pour mutualiser des compétences, des expériences et des moyens.
Surtout, cela leur permet d’entretenir des relations de collègues et d’être moins isolés dans leurs pratiques.
Les parents restent employeurs de leur assistant maternel, mais les enfants sont accueillis ensemble, ce qui permet davantage d’interactions.
La Caisse d’allocations familiales encourage l’installation de ces maisons d’assistants maternels en proposant des financements.
L’accueil collectif
Qu’elles soient publiques ou privées, des structures d’accueil collectives permettent aux enfants de grandir en collectivité.
- Le multi-accueil communal de Bain-de-Bretagne, La bulle enchantée, propose 40 places.
- Le cheval à bascule de Grand-Fougeray, confié à la société Maison bleue, reçoit 20 enfants de façon régulière, occasionnelle ou pour les accueils d’urgence.
- Enfin la micro-crèche privée À deux mains créée par Mélanie Aubert dispose d’un agrément pour 10 enfants.
Ces structures sont animées par des professionnels salariés : CAP accompagnant éducatif petite enfance, auxiliaires de puériculture, éducateurs de jeunes enfants, puériculteurs.
Ici les parents sont usagers, et n’ont donc pas de relation contractuelle avec les professionnels.
Finalement, avant de faire votre choix, assurez-vous d’être en accord avec le projet d’accueil de la structure ou du professionnel.
Ainsi, vous pourrez confier votre enfant en toute confiance !