Dossiers,  Habitat

Publié le mardi 1 juin 2021

Maïwenn est cadre dans la fonction publique hospitalière. Une situation qu’elle qualifie de « confortable ».

Il y a un an, elle décide de s’installer « de façon pérenne sur le territoire » en devenant propriétaire. Elle est consciente que le marché traditionnel est très tendu, et que les prix ne lui permettront pas de diminuer ses charges. Elle s’intéresse alors à d’autres façons d’habiter, qui soient plus en phase avec ses valeurs écologiques. 

« Je souhaite que la nature puisse reprendre son cours le jour où je quitte le lieu, sans avoir laissé de trace ». Pour cela, il faut trouver un habitat sans fondation, qui ne dégrade pas le sol. Un habitat sobre, transportable ou démontable, dit « réversible ».

C’est l’aspiration de plus en plus de personnes, qui y trouvent une solution économique (environ 50 000 € pour une Tiny-house par exemple), et écologique, au problème de l’habitat. 

Le PLUIH permet ce type d’installation, mais elle doit se faire dans le respect des règles d’urbanisme et nécessite une autorisation. Le terrain doit être constructible, avec un raccordement aux réseaux lorsqu’ils existent.

Renseignez-vous auprès du service urbanisme de votre mairie avant d’acheter un terrain ou de vous installer.

© François Boulland – une tiny-house

Partager cette page sur :